Marie-Claude Roy
Infirmière clinicienne, M.SC en Santé mentale avec un profil en soins palliatifs intégrés
et
Thérapeute en relation d'aide
Infirmière clinicienne, M.SC en Santé mentale avec un profil en soins palliatifs intégrés
et
Thérapeute en relation d'aide
Je détiens un baccalauréat en sciences infirmières et une maîtrise en santé mentale avec un profil en soins palliatifs intégrés. Je suis membre de l’ordre des infirmières et infirmiers du Québec depuis 2004. Je travaille depuis 18 ans auprès de personnes vivants avec des maladies chroniques. Je vis moi-même avec deux maladies auto-immunes dont un diabète insulinodépendant (LADA).
L’humain est au centre de ma pratique, ce qui me permet d'être empathique et de porter une attention à l’autre dans son unicité. Avec une approche biopsychosociale de la santé physique et mentale, les rencontres se déroulent dans un climat accueillant et chaleureux. Je vous assure une écoute active bienveillante et dépourvue de jugement. Mon approche s’inspire également des principes de l’approche palliative intégrée, en vous offrant un soutien global et personnalisé tout au long du parcours de la maladie, dans le respect de vos valeurs et vos besoins.
J’interviens auprès d’une clientèle :
J’offre des rencontres virtuelles ou à domicile.
Les rencontres peuvent se dérouler en français ou en anglais.
La relation d’aide vous permet d’acquérir une meilleure connaissance de vous-même, de mieux comprendre vos relations avec les autres, mais également de mieux gérer vos insatisfactions et à évoluer à travers celles-ci. Ces rencontres vous permettront d’être axées sur le pouvoir du moment présent et sur l’exploration de vos ressources afin de vous donner l'occasion de trouver les outils nécessaires pour surmonter vos défis. L’accent sera mis sur ce que vous vivez ici et maintenant, sur vos difficultés actuelles.
Je vise, selon vos besoins, à améliorer vos compétences dans la gestion de votre maladie et de ses symptômes. Je désire vous accompagner vers une plus grande autonomie et une meilleure compréhension de celle-ci, afin de vivre en harmonie avec elle, plutôt que dans le jugement, la dépréciation, la colère ou la tristesse. Cheminer avec la maladie ou en fin de vie ne se limite pas seulement à la façon dont elle modifie l’organisme. Il convient aussi de comprendre ses effets sur votre état d’esprit et d'identifier les émotions vécues. Une adaptation inadéquate prédispose la personne à développer des troubles de santé mentale qui peuvent mener à la perception d'une pauvre qualité de vie, au sentiment d'être un fardeau pour ses proches, à des symptômes d'anxiété ou de dépression. Se raconter et être écouté, c'est avoir la chance de se percevoir, comme dans un miroir, et d'y découvrir des éléments positifs de sa vie et des forces souvent ignorées.
Une idée fausse largement répandue est que toute personne atteinte d'une maladie grave, progressive ou limitant la vie, surtout à mesure qu'elle approche de la mort, doit être déprimée. C’est à travers de ma vie personnelle et professionnelle que j’en suis venue à la conclusion que ce n'est pas le cas. Une vie avec la maladie ou une fin de vie peut se faire de façon sereine, équilibrée et adaptative. Il a été démontré qu’intégrer les soins palliatifs pendant le processus curatif permet de supporter la double réalité des patients qui espèrent la guérison tout en affrontant la possibilité de ne pas guérir et en s’y préparant. C'est pourquoi, je m'engage envers une pratique holistique et personnalisée qui reconnait la possibilité de croissance personnelle et de connexion profonde même dans les moments les plus difficiles de la vie.
Boris Cyrulnik
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